Vétéran
du nationalisme français (il aura 89 ans le 6 janvier prochain), acteur
de premier plan depuis plus de soixante ans du mouvement nationaliste
en France, fondateur de Jeune Nation, du Parti nationaliste et de
l’OEuvre française, parrain du mouvement Occident, Pierre Sidos nous
livre son analyse de la situation politique nationale et internationale
et nous donne son point de vue sur l’avenir du nationalisme dans notre
pays.
RIVAROL : Comment
analysez-vous l’invasion en cours et en voie d’accélération de la France
et de l’Europe et l’attitude des dirigeants français face à cette
submersion migratoire ?
Pierre SIDOS : Ce
phénomène était prévisible politiquement du fait de l’action délétère de
gens qui usurpent le pouvoir en prétextant qu’ils ont été élus. Ils ont
accaparé les places et ils veulent les garder. Il y a à répudier une
forme de racialisme qui déclare que l’histoire de l’humanité c’est la
lutte des races. Il faut répudier également le marxisme qui dit que
l’histoire de l’humanité c’est la lutte des classes. La démocratie c’est
la lutte des places. A partir de ce moment-là tout est bon pour
parvenir aux places rentables à tout point de vue, sur le plan
pécuniaire comme sur le plan de la glorification personnelle. Sarkozy a
ainsi fait des promesses pour parvenir à l’Elysée et une fois au pouvoir
il a fait une politique de gauche. Pourquoi ? Pour garder la place.
Quand il dit qu’il a changé, c’est forcément en pire. Tous ces gens-là
sont identiques : il s’agit d’avoir des places et d’en profiter. Dans
les élections à venir le mieux est de refuser de jouer le jeu d’accorder
des places à tel ou tel.
L’invasion de notre pays était prévisible
du fait de la volonté farouche de voir modifié le fond populaire
français et chrétien, qui est de race blanche. Aujourd’hui, lorsqu’on
prend le métro à Paris, on cherche les Blancs !
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