À part gaspiller quelques millions d'euros et jeter les français des différents partis les uns contre les autres, les élections ont tout de même un intérêt : Celui de mesurer le niveau d'attachement du peuple au système en place. Avec une abstention à 50% et un néo-FN à plus de 30%, force est de constater que cet attachement est réduit à la portion congrue. Malgré une mobilisation de toutes les forces institutionnelles à la veille de l'élection, médiats, artistes frelatés, syndicats, patronats, et profitariats en tout genre de l'oligarchie en place n'auront pu empêcher la réalité de s'affirmer : La fracture entre le pays légal et le pays réel ne cesse de s'élargir et le système tremble sur ses bases. La France est menacée de désintégration. Notre société est gangrenée par des maux profonds comme le communautarisme, le terrorisme, l'effondrement moral ou l'appauvrissement du peuple que le gouvernement est incapable de résoudre.
Nous sommes entrés dans une période de grande instabilité prélude à de
profonds changements. Seuls les nationalistes ont les solutions aux
défis de civilisation auxquels nous sommes confrontés. C'est une affaire
de tempérament, de principes et de volonté et non de lois du nombre. Le
rétablissement de la France se fera en dehors du système et même contre
ce système. Construisons ensemble l'alternative.
Il est minuit moins le quart. Il est grand temps de mettre les pendules à l'heure.
Yvan Benedetti
Il est minuit moins le quart. Il est grand temps de mettre les pendules à l'heure.
Yvan Benedetti