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15 octobre 2021

Compte-rendu du VIIe « Cassoulet nationaliste » en Languedoc

Le dimanche 10 octobre 2021, les nationalistes languedociens se sont rassemblés pour la troisième année consécutive, dans la matinée, pour rendre hommage à Pierre Lespinasse, magistrat du Parquet général toulousain assassiné le 10 octobre 1943 par des terroristes apatrides, peu avares de sang français, pour avoir rempli son devoir et envoyé à la guillotine Mendel, dit Marcel, Langer, autre terroriste communiste, rebaptisé résistant, interpellé quelques temps auparavant en gare Saint-Agne en possession de quantité d’explosifs.

Il est essentiel de comprendre que le régime actuel, qui pousse des cris d’orfraie à chaque fois qu’un musulman vient commettre un attentat en France, au nom des valeurs de la république, est, par sa nature même, incapable de nous protéger de ce danger.

En effet, non seulement il a organisé la venue sur notre territoire national de ceux-là mêmes qui commettent ces forfaits, mais en outre et plus fondamentalement, il est lui-même issu des actes terroristes de Langer et de ses émules.

Comme l’a rappelé dans son bref discours d’hommage notre Ami Pierre Marie Bonneau, Bossuet disait avec raison que « Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes. »


Après avoir déposé une gerbe florale en hommage, les militants ont retrouvé, en pleine nature, à côté de Toulouse et sous un chêne pluri-centenaire, nombre de sympathisants et de curieux venus pour la septième édition de notre maintenant traditionnel « Cassoulet nationaliste toulousain », arrosé d’un bon vin rouge du Roussillon.

Notre chef et ami Yvan Benedetti a pris la parole, rappelant les enjeux de cette période cruciale de notre histoire et la nécessité de ne pas nous laisser aveugler par les mirages électoraux, dont beaucoup ne font que refléter les illusions entretenues par ce régime qui mène consciencieusement notre Patrie à la ruine.


Nous nous sommes quittés en fin d’après-midi, pleins d’espoir et conscients des devoirs qui pèsent sur nos épaules de nationalistes déterminés.

C’est l’enracinement dans la durée, malgré les épreuves et les contretemps, qui fait la force d’un mouvement, et nous avons, dimanche dernier, encore une fois prouvé que rien ne pourrait altérer notre volonté.

En avant pour la Révolution nationale !

 Reportage photo sur : JeuneNation