En
ce 9 juin, à l’invitation de l’association toulousaine UCODEL, de nombreux
militants et sympathisants de la cause nationaliste devaient se retrouver
autour de 4 figures marquantes : Alexandre Gabriac, Gérard Leroy,
Dominique Morel et Pierre-Marie Bonneau.
N’ayant
pu faire le déplacement, Alexandre Gabriac avait envoyé un message vidéo dans
lequel il commençait par rendre un hommage appuyé à Pierre-Marie Bonneau,
avocat et membre du présidium du Parti Nationaliste Français, ardent défenseur
de longue date de tous les nationalistes traqués par la « police de la
pensée ». Il développait ensuite les points essentiels de doctrine hors desquels
il ne peut y avoir de compromis nationaliste possible.
Prenait
ensuite la parole Gérard Leroy, auteur et philosophe, qui entretenait l’assistance
de la conception authentique du paganisme, enraciné dans les mythologies
européennes et sans acrimonie anti-chrétienne, comme une base de réconciliation
en vue d’un idéal dépassant les croyances individuelles.
Puis
Dominique Morel, élu municipal du Parti Nationaliste Français en Auvergne,
rappelait que la diversité des engagements politiques partisans au sein de la
mouvance nationaliste, ne devait pas dégénérer en querelles picrocholines au
risque d’éclipser les opportunités d’action au service du redressement de la
France.
Enfin,
il revenait à notre ami Pierre-Marie Bonneau, de rendre hommage à Eudes
d’Aquitaine qui en ce jour, en 721, sous les remparts de Toulouse, mettait un
coup d’arrêt à l’expansion mauresque en terre d’Europe ouvrant la voie à la
geste de Charles Martel à Poitiers en 732.
En
guise de conclusion, il appelait chacun à s’engager pour la cause nationaliste
à la mesure de ses moyens et à garder front haut et tête froide dans les
épreuves que traversent notre nation et notre civilisation, rappelant, selon le
mot de l’empereur, que « la victoire
appartient à celui qui sait coucher sur le champs de bataille ».
Et
les participants de se séparer après l’acclamation nationaliste
traditionnelle : « Qui vive ? France ! »